La prolifération des évolutions en matière financières éloignent de plus en plus les épargnants de la gestion de leur épargne et de l'exercice de leur jugement sur la façon dont les entreprises sont gérées. Pour palier à cette prolifération le législateur croit bon de marque sa présence en multipliant les reglementations et les structures de contrôle. Ceci conduit à aller à l'encontre du but recherché en ne permettent la survie qu'a des structures de grande taille dont la gestion optimisée élimine la nécessaire diversité propre à assurer une confrontation de marché. a l'intérieur même des ces organisations la prolifération des règles nuit à une vision claire de la situation avec un objectif non écrit de protéger les dirigeant des risques que leur responsabilité pénale implique/
Une révision de l'approche semble indispensable au minimum pour reconstituer des repères fiables nécessaires à la restauration d'un minimum de confiance.