Comme en 1954 la situation du marché immobilier induit une exclusion de plus en plus dramatique et son assainissement dans le sens d'une meilleure adéquation entre investissement et revenus disponibles est pratiquement bloqué.
Par contre la réduction des distorsions dans les allocations de ressource et dans les phénomènes de formation des prix, ne connaisse que de timides ébauches. Leur application au marché intérieur pourrait certainement donner du poids aux discussions sur la régulation des prix des matières premières des taux et des monnaies.
Le sujet est vaste et les solutions toujours difficiles à évaluer car le facteur temps des projets immobiliers modifie sensiblement les données initiales motivant la décision de gestion
Pour éviter cet écueuil il faut s'assurer que cerains équilibres fondammentaux, sont maintienus dans la durée et que ne s'instaurent pas des situations de précarité qui conduisent à des conduites extrêmes.
En echo aux solutions evoquées par les professionnels du bâtiment ce document a pour objet d'enrichir la démarche et de l'orienter vers des solutions plus pérennes que celles motivées par les issues d'une urgence climatique
Bonne lecture
Les urgences climatique ne doivent pas faire oublier les interactions en matière d'équilibres et de risques dont la configuration se modifie en raison des risques climatiques mais surtout dans l'évolution des rapports de force tant politiques qu'économiques