La richesse de la démarche initiée par M. RODARIE en matière d'approche comptable avait pour introduction les déséquilibres financiers internationaux. Les faibles progès enregistrés dans les forum du G20 sur le sujet n'incitent pas à l'optimisme d'une solution rapide aux déséquilibres qui ont été généré.
La dette en fait est une expression temporelle liée à son remboursement. Quand celui-ci n'est plus possible c'est que les prêteurs ou les emprunteurs se sont fourvoyé. C'est le cas actuellement et plutôt que géner des situations propres à déchaîner la violence il parait plus opportun de rééquilibrer le système et de faire d'une pierre deux coups de gérer des ressources devenues plétoriques relativement à l'accroissement des usages rares.
C'est ce complément à la réflexion antérieure sur les problèmes de valorisation qui m'a semblé constituer une démarche nécessaire comme base de réflexion