La crise financière mondiale 2008/2009 a pour origine des dysfonctionnements jugés politiquement correct du marché immobilier des ETATS UNIS. Rappelons-nous aussi que celle de 1996 en France avait les mêmes supports.
La principale raison en est que l'accès au logement est dans les économies les plus diversifiées de la planète constitue un engagement en capital qui engage les individus sur une grande partie de leur vie. Il implique donc une relation essentielle au temps et aux anticipations que les systèmes financiers permettent en rendant des ressources disponibles à court terme mobilisable pour couvrir des engagements long.
Les combinaisons qui en découlent en matière de valeur sont multiples mais les risques qu'elles génèrent sont très différents et permettent de justifier des manipulations qui en fait dans certains cas sont des spoliations pures et simples.
La façon la plus courante est de faire des amalgames entre flux récurrents et valeur passée et future sans tenir compte des différences entre les conditions prévalant aux différentes périodes considérées et notamment sur la façon dont on calcule le risque temporel.
Dans le but de rétablir des vérités en regard de ce que je pense des simplifications abusives pour le moins, j'ai répondu au affirmations présentées dans une émission de Arte de 26 décembre 2017.
En voici les éléments: